Les revoila...
Les cafards ne se sentent plus de joie, et (re)-prennent possession de mon univers.
Mais moi je ne vais pas me laisser faire nanmého...
alors, ACTION/REACTION, ni une ni deux, je me suis équipée...
et la permettez moi de vous faire un peu d'anti-pub contre DYROACH (ou de pub pour la robustesse de mes cafards), car cet insecticide ne les tue pas vraiment, mais les endommage quand même. Ce qui fait que certes je n'ai plus la baltringue des cafards à 2h00 du matin, mais au réveil, j'ai des cohortes de blattes semi-agonisantes, de quoi se mettre de bonne humeur, hello sunshine.
Mais ne croyez pas que la cohabitation est si meutrière, bien au contraire! Habituée à ne pas vivre seule, ces cafards sont un peu mes colocs d'ici, alors certes je défends mon territoire (id est ma chambre) avec âpreté, mais je leur laisse la part belle ailleurs, et le soir je vais les regarder faire les 400 coups dans les bureaux d'à côté avec le plus grand plaisir.